Letter of Princess Yusupov, to his son on an auction with some of their works of art:
In English:
dear Felix, I'll return this interesting catalog [an auction organized by the Bolsheviks taking place in Germany].
It must be very vigilant and attentive on the identification of objects belonging to us, because otherwise our protests and our steps are not taken seriously.
What I am perfectly safe and can certify on the following:
1) page 101, No. 359 and 360 on the pastel signed Boucher representing two heads of women, it is a very rare and very pretty, I remember from my childhood, she was in private practice work of my father. In addition Rotari was thereafter found a copy at home to Arkhanguelskoïé.
2) page 105, No. 385, this opens Greuze comes from the collection of Good Mom [princess Zénaïde Ivanovna, born Narychkine (1809-1893)], it was in a mind frame, what I remember with certainty He was out of the apartment the Parc des Princes [reference to the mansion is now 4 avenue Robert Schummann in Boulogne sur Seine, which belonged to his grandmother Princess Zénaïde Ivanovna, born Narychkine (1809 -1893)].
3) page 107, No. 383 and 384: These two heads of just Greuze my own studio and were even identified as such in the French catalog of an exhibition on this artist, they were well at home. 4) page 125, No. 366: Portrait of an unknown woman signed Gosoloff GA, was in the gallery yellow and white and did indeed ever so interested. For Claude Vernet and Lorain, I am not very sure because there were many among us, but also to the Hermitage. The portrait of Catherine II by is certainly not against us based on its size, it most likely comes from the Hermitage palace, where there were many. For bronze objects it is very difficult to identify. Page 57, it seems that everything is up to us, but in any event many can be found in the world and can look at ours. Page 96, the scene of bronze figure of John of Bologna, with the size of a man is certainly to us, as the removal of junipers is a unique piece made from a wax lost in the texture was grainy and not polished as all other bronzes of this artist were in my [missing continued] "
In French:
cher Félix, je te retourne cet intéressant catalogue [d'une vente aux enchères organisée par les bolcheviques se déroulant en Allemagne].
Il faut être très vigilant et attentif sur l'identification des objets nous appartenant, car sinon, nos protestations et nos démarches ne seront pas prises au sérieux.
Ce dont je suis sûr et peux parfaitement certifier sur les objets suivants :
1°) page 101, n° 359 et 360, sur le pastel signé Boucher représentant deux têtes de femmes, c'est une pièce très rare et très jolie, je m'en souviens depuis mon enfance, elle se trouvait dans le cabinet de travail de mon père. De plus Rotari a fait par la suite une copie se trouvant chez nous à Arkhanguelskoïé.
2°) page 105, n°385, cette ouvre de Greuze provient de la collection de Bonne-maman [princesse Zénaïde Ivanovna, née Narychkine (1809-1893)], il était dans un ravisant cadre, ce dont je me rappelle avec certitude, il a été sorti de l'appartement du Parc des princes [référence à l'hôtel particulier se trouvant aujourd'hui 4 avenue Robert Schummann à Boulogne sur Seine, qui appartenait à sa grand-mère la princesse Zénaïde Ivanovna, née Narychkine (1809-1893)].
3°) page 107, n°383 et 384 : Ces deux têtes de Greuze viennent de mon propre cabinet de travail et ont même été identifiées comme telle dans le catalogue français d'une exposition sur cet artiste, elles se trouvaient bien chez moi. 4°) page 125, n°366 : le portrait d'une femme inconnue signé G.A. Gosoloff, était dans la galerie jaune et blanche et ne m'a d'ailleurs jamais tellement intéressé. Pour Vernet et Claude Lorain, je ne suis pas très sûr, car il y en avait beaucoup chez nous, mais aussi à l'Ermitage. Le portrait de Catherine II par contre n'est certainement pas à nous d'après sa taille, il provient très probablement du palais de l'Ermitage, où il y en avait beaucoup. Pour les objets en bronze il est très difficile de les identifier. Page 57, il me semble que tout est à nous, mais de toute façon un grand nombre se trouve dans le monde et cela peut ressembler au nôtre. Page 96, la scène de personnage en bronze, de Jean de Bologne, ayant la taille d'un homme est certainement à nous, comme l'enlèvement des sabines est une pièce unique faite d'après une cire perdue dans la texture était granuleuse et non polie comme tous les autres bronzes de cet artiste se trouvaient dans ma [il manque la suite]"